KARNATAKA-GOA 2018. AVEC MARIE LISE LABONTÉ ET JÉROME ANGEY
PRÉSENTATION DU VOYAGE
La beauté des provinces du Karnataka et de Goa associées aux énergies des lieux sacrés nous invitent à vivre l’expérience de la réunification du féminin et du masculin intérieur. Avec en son coeur l’ancien état princier de Mysore, le Karnataka offre des paysages splendides ou s’égrènent des sites prestigieux.
PHOTOS DU VOYAGE AVEC LE GROUPE
L’UNION INTÉRIEURE, UN CHEMIN VERS SA DIVINITÉ
L’homme est double dans sa nature, il est à la fois humain et divin. L’humanité est spirituelle et la divinité est spirituelle, il n’y a pas de séparation. La matière qui nous compose permet la naissance de la forme. Elle inspire l’âme à habiter un « temple », un corps physique, vital, émotionnel et un intellect. La matrice est de polarité négative, yin ou lunaire. L’esprit est de polarité positive, yang ou solaire. Pendant une longue période, l’être s’identifie à sa personnalité issue de la matière, puis au cours de l’évolution, il commence à diriger son attention vers le monde de l’âme. La capacité d’attraction de l’âme, l’amour, unifie l’esprit et la matière au cœur du temple humain. L’harmonie est ainsi retrouvée. Cette union est symboliquement représentée par les déités Indiennes, Shiva/Shakti. Shiva représente « l’Esprit », la source créatrice en sommeil, Shakti (Parvati) est l’énergie qui permet la manifestation. L’être peut réaliser cette union intérieure à travers sa conscience, son cœur et son action, dans le partage avec les règnes de la nature, à l’écoute de soi même, des autres et de l’univers. Les énergies des lieux sacrés de la province du Karnataka sont propices à vivre cette expérience. Marie Lise Labonté et moi-même, vous y invitons. Jérome Angey
PRÉSENTATION DU VOYAGE, SOUS TITRE ESPAGNOL
« L’union sacrée Shiva-Parvati
Dans les différents lieux rencontrés, il y aura constamment cette recherche à l’intérieur de soi, de l’union sacré entre cette dimension du feu, de l’âme, cette dimension du feu masculin et cette dimension de la douceur féminine. Dans les sculptures du lingam et du yoni, il y a cette interpénétration de l’être, à la fois dans la divinité et l’humanité à l’intérieur de soi, dans le masculin et le féminin intérieur, dans vivre l’union avec les éléments, l’union avec la terre, l’union avec le divin en soi et en l’autre ».
PHOTOS DU KARNATAKA